ÉDIT(h)
Le Shuniku japonais qui devint parfum
Imaginez un instant : Japon, 1905. Dans l'atelier de Nikko Jirushi, les artisans préparent leur mystérieux "shuniku" — cette encre rouge des tampons officiels. L'air s'imprègne d'essences venues d'Asie profonde. Personne ne soupçonne alors que, 120 ans plus tard, ces fragrances ancestrales deviendront objets de désir.
Entre alors Kentaro Kuzuwa, héritier rebelle de la sixième génération. Ex-directeur musical ayant bourlingué dans 50 pays, il revient au bercail avec une idée folle : transformer les senteurs précieuses de l'atelier familial en parfums de luxe. Le résultat ? ÉDIT(h). Une collection qui rend hommage à ces effluves issus de traditions asiatiques séculaires.
Ces créations portent en elles l'âme d'un atelier japonais centenaire. Chaque bouteille est polie à la main, chaque capuchon de zinc lourd, façonné et brossé par des artisans.
La collection "Remixes" pousse l'audace plus loin. Des parfumeurs européens s'emparent des formules originales et les retravaillent comme des DJ remixant un vinyle rare. "Jardin des mots" dialogue avec "Jardin Tokyo", "Cocktail Lane" répond à "Rose Mojito"... Une conversation olfactive entre Orient et Occident.
Portée par une reconnaissance internationale croissante, ÉDIT(h) s’impose déjà comme l’une des maisons les plus innovantes de la parfumerie contemporaine.